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Juste OLIVIER (1807-1876) : Le canton de Vaud (1831)
O bleu Léman, amours de tes rivages
Miroir du ciel où tremblent les nuages
De ma patrie ô suprême beauté,
Je n’entends plus ton murmure enchanté ;
Voici des flots ; mais leur vague étendue,
Miroir du ciel où tremblent les nuages
De ma patrie ô suprême beauté,
Je n’entends plus ton murmure enchanté ;
Voici des flots ; mais leur vague étendue,
Leur pâle azur assombri par les bois,
Leurs humbles bords, leur incertaine voix
Que disent-ils à mon âme éperdue ?
O bleu Léman, toujours grand, toujours beau
Que sur ta rive au moins j’aie un tombeau [...]
Leurs humbles bords, leur incertaine voix
Que disent-ils à mon âme éperdue ?
O bleu Léman, toujours grand, toujours beau
Que sur ta rive au moins j’aie un tombeau [...]
Juste OLIVIER (1807-1876) : Le canton de Vaud (1831)