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L’une des réflexions qui nous frappaient le plus dans nos longues promenades
sur les bords du lac de Genève, c’était le contraste de l’admirable nature
dont nous étions environnés, du soleil éclatant de la fin de juin,
avec le désespoir de l’homme, ce prince de la terre
qui aurait voulu lui faire porter son propre deuil.
Germaine de STAEL (1766-1817)